Umbrella conspiracy~

Vous savez, l’impression que quelqu’un vous observe partout où vous allez? Cette sensation que tous vos mouvements sont épiés, les uns après les autres? Eh bien, c’est ce qui m’arrive en ce moment. Et je vous le dis, ce n’est pas vraiment pas plaisant…

Cela fait maintenant dix minutes que je me suis perdu dans cet endroit biscornu. Un endroit indescriptible qui ne cesse de m’obnubiler : je tourne en rond sur moi-même dans le but tout voir en un seul instant, mais évidemment, cela est impossible. Mais où étais-je? Suis-je perdu? Enfin, je ne comprends aucunement ma situation. Pourtant, voilà maintenant onze minutes que j’avais seulement décidé de fermer mes paupières pour pouvoir me reposer paisiblement. Je voulais simplement récupérer, simplement refaire le plein d’énergie en fermant mes yeux un tout petit instant. Douze minutes. Treize minutes, mais qu’est-ce que je fais ici? Où est donc ce lapin blanc qui se disait en retard? Cet animal que j’ai aperçu et que j’ai décidé de suivre après cette sieste indésirable et qui a persisté durant un laps de temps inconnu. Quatorze minutes. Quinze minutes. Un quart d’heure que je suis tombé dans ce fameux terrier. J’ai vu le lapin sauté à l’intérieur. Curieux, j’ai seulement voulu y jeter un coup d’œil, mais quelque chose d’inconnu m’y a aspiré : que de curieuses choses durant la descente! Une rafale d’objets déferlait devant moi sans pour autant tomber. Seize minutes. Je décide de prendre le biscuit qui me transforme en une espèce de géant. Décidément, je suis beaucoup trop grand pour cette pièce, je dois remédier à la situation immédiatement sinon je serai prisonnier de cette salle. La seule option qui s’offre à moi est ce liquide dans la fiole, exactement à côté d’où se trouvait le biscuit. Oups. Je suis à présent de la d’une fourmi. Que de folie! Est-ce que tout cela est vraiment réel? Est-ce que je dors encore? Est-ce un rêve? Trop d’interrogations, trop peu de réponses, mais bon, je dois continuer encore et toujours. Voilà, je vais avancer dans ce trou, je peux maintenant y passer, je suis de la bonne taille.

Une forêt. De toutes les places où j’aurai pu aboutir, ceci est probablement un des derniers endroits que j’aurais cru possible. Enfin quoi, je dois comprendre. J’avance, j’avance et toujours cette foutue sensation d’être observé. Mais cette fois, la sensation est familière. Comme si les yeux qui m’épiaient étaient d’un jaune perçant, presque animal. Oui, cela me rappelle quelque chose, mais je n’arrive vraiment pas à me souvenir. Exactement comme si ce même regard inconnu s’était déjà posé sur ma personne. Mais merde, qui est-ce? Enfin, je finirai bien par trouver en pourchassant mon chemin.

Un château. Vraiment, cet endroit est des plus étranges. Bref, je continue mon chemin dans le but d’obtenir des réponses à toutes mes questions. Quelle n’est pas ma surprise lorsque je me retrouve nez à nez avec une femme toute de rouge vêtue. Imposante, mais à la fois gracieuse. Une femme énigmatique qui dégage une de ces impressions tout aussi mystérieuses. Je suis submergé par le moment et tout ce qui se passe par la suite est très flou. La vision de cette femme se tournant vers moi en ordonnant à ces cartes de gardes de m’attraper. Flou, très flou, encore plus flou. Je ne me souviens plus de rien, sauf de ces paroles : « qu’on lui coupe la tête! » Pourquoi? Je ne comprends pas. Trop peu de réponses à mes interrogations. Qui m’épiait au tout début de mon aventure, à qui appartenait donc ce regard familier dans la forêt. Qui était ce lapin? Quel est cet endroit? Mais surtout, une question est sur mes lèvres depuis une heure…

…mais, qui suis-je?

Bang, bang, bang.

Hum? Un bruit aucunement naturel il va sans dire. Répétitif… une mélodie? Comme si quelqu’un ou quelque chose cognait à un intervalle voulu dans le but d’en créer une mélodie.

Bang, bang, BANG!

« …What the hell? »

Ouf! Le visage contre le sol froid ce n’est pas aussi confortable que sur un oreiller. Eh oui, je me retrouve en ce moment même sur mon plancher à plat ventre dans mon super pyjama uniforme de vache. Même que la moitié de mon masque de nuit décore maintenant le bois de mon sol. Tout ça n’était donc qu’un rêve. Un rêve étrange en tout cas. Étendu de tout mon long, je me lève tranquillement à bout de bras pour remarquer que le bruit qui vient de ma porte ne fait pas parti de mon songe, lui. Aussitôt que je prête l’oreille, la mélodie à change, comme un code secret. Sérieusement, il n’y a que le gouvernement qui peut donner ce genre de signal face à une menace apocalyptique et en plus, il vienne me cherche pour que puisse aider le pays à irradier la menace! Sans attendre plus d’un instant et étant extrêmement présentable, je m’élance pour aller répondre à l’agent. Cependant, avant d’ouvrir, je regarde dans mon œil-de-bœuf pour m’assurer que c’était bien un des men in black ou encore mieux, Nick Fury en personne qui était venu me chercher. Eh bien, ce n’était pas le cas, c’était même mieux que de voir la série des Star Wars en une seule journée.

Devant mon appartement se tenait KyeSung. En effet, mon sempaï, mon oppa, mon maître, my master enfin tous les termes qui est possibles d’employer, se trouvait juste là. De plus, il était clair que le gouvernement l’avant contacté avant dans le but qu’il me livre ensuite le message pour qu’on fasse un team-up à la Batman et Robin. Non, non attendez, la crème de la crème. Un team-up à la Chris et Leon pour combattre la menace Umbrella. Oui, maintenant cela était clair comme de l’eau de roche puisque ce dernier avait un habillement bien spécial tout comme ce doit un agent secret : il portait un habit maid dans le modèle de mini-jupe. En plus de cela, il avait même les chaussettes, les rubans dans les cheveux et ce truc qui ressemble rien qui se porte sur la tête, le tout s’agençant ensemble. Il avait également un plumeau à plumes, comme à l’ancienne, de toutes les couleurs. Aux yeux des communs, il pourrait passer comme un énergumène, mais à mes yeux il était évident que ce costume renfermait tout plein de go-go gadget aux surprises! Que même ce plumeau était en fait un sabre laser caché! Ou encore, ces rubans étaient des menottes incassables pour arrêter la pire des brutes. Trop de surprises, hiiiii!

Comme une écolière, je me mis à sauter sur place en couinant tout excité de la situation qui se préparait. Sans plus attendre, je lui ouvris la porte avec les yeux pleins d’étoiles.

« On va aller protéger Raccoon City, riiiight? »

Au même moment, lorsque son regard se pose sur moi, j’ai réellement une sensation de déjà-vu. Cette perception animal que j’ai déjà eu l’impression d’avoir, mais je ne mais rappelle aucunement où et quand… Anyway, who cares? We’re going to take care of some zombies!

Ça vous arrivait de vous lever les matins, de vous regarder dans le miroir et de vous dire : Tiens, aujourd’hui, j’ai une folle envie de mettre mon costume de maid rose? Non, franchement, ça lui arrivait pas souvent aussi. Même si avec un charisme débordant (comme le sien), tu pouvais sans mal faire passer un faire sac-poubelle pour la dernière création de verscace. L’ennui avec les jupes courtes et les jarretières, c’est que c’était un peu moins subtil, beaucoup plus flamboyant et surtout très douloureux pour l'entre jambes. Si vous voyez ce que je veux dire. Pour faire court, ce n’était pas vraiment un choix esthétique ou un quelconque début cinématographique, qui l’avait poussé à porter un costume digne d’un film porno fétichiste. Même s’il pouvait se vanter de porter la dentelle mieux que la majorité des femmes de Wonderland, ce n’était pas vraiment le genre de truc dont tu pouvais de vanter au bar entre un verre ou deux. Parce qu’il y avait des choses dans la vie sur lesquels tu ne pouvais pas mentir et que les douteux de la duchesse en fessaient surement parties. Il serrait quand même le plus grand menteur au monde s’il vous disait, qu’au fond, ça ne lui plaisait pas vraiment.

Sauf que franchement ça vous étonne? Même si le relookage était une idée vengeresse de la marâtre duchesse, il s’était pas vraiment fait prier pour enfilé ses nouveaux habits. La vérité, c’est qu’il prenait un peu trop plaisir à se balader dans la rue en talon haut et en sous-vêtement coquins. C’était quand même un bon retour de Karma, pour la maitresse qui croyait l’obliger a rester bien sagement dans son foyer. Ce qu’elle n’avait pas pris en considération, c’était que son foutu chat domestique était encore pire qu’une gamine de seize pré-pubère qui découvrait ses nouvelles formes. Va s’en dire, il n’allait pas cracher sur un peu d’attention gratuite. Sauf qu’allumer tous les pervers de Wonderland, c’était peut-être amusant au début, mais ça devenait franchement redondant à un certain point. Ça, c’est sans parler que la dentelle le grattait encore plus qu’une maladie vénérienne. Il commençait d’ailleurs à songer regagner la maison et passer la seconde partie de l’après-midi à poil sur le balcon à chanter du Céline Dion jusqu’à ce qu’il retrouve ses vêtements, lorsqu’une meilleure idée lui traversa l’esprit :

Lee Jae Jin.

Ce mec avait dû franchement frapper toutes les branches en tombant de l’arbre du plus gros crétin. Il buvait comme du gatorade tout ce que je lui disais. Pas mêlant, il était le parfait pigeon pour ses complots de maitre, comme lui faire croire que des extraterrestres avait débarqué sur terre pour changer nos vêtements par des sous-vêtements coquins. Ça, c’était la meilleure idée qu’il avait eue depuis qu’il avait essayé de teindre le rose de la reine rouge en blanc et c’était franchement moins dangereux. Il s'était donc joyeusement frayé un chemin jusqu’à son appartement pour porter la bonne nouvelle, en essayant de ne pas se rompre le cou sur ses échafauds. Malgré tout, il faillit perdre la notion du temps, en croisant son reflet dans a fenêtre du cuticule d’entrée. Sérieusement, s’il le pouvait, il essayerait (De fa¨con très modeste) de se faire l’amour. Ce n’est pas mêlant, avec un corps comme ça, il pourrait même faire la couverture de playgirl.

Ou plutôt playboy, dans les circonstances présentes.

C’est donc après avoir supporté une nouvelle vague d’autoadmiration, sans faire exploser sa tête enflée, il gagna bien vite la porte de son chien favori. Pas très difficile a reconnaitre, elle était gravée des mots « vous ne passerez pas » avec une image de Gandalf juste en dessous. Il s’apprêtait à sonner, quand il se dit que ça serait franchement plus dramatique se mettre à frapper comme une fou perdu sur sa porte d’entrée. Ce qu’il fit, sans se faire prier.

BANG BANG BANG

« JAEEEEEEE JIIIIIIIIINNNN… » Hurla’il de sa voix la plus aiguë possible. « OUVRE CETTE PORTE , C’EST UN ORDRE!!!!»

BANG BANG BANG

La porte s’ouvra enfin. Prit au jeu, il poussa un soupire de soulagement et releva la tête juste assez vite pour tomber nez à nez avec un gros coréen bedonnant qui n’avait pas l’aire super sympathique.

« Qu'est-ce que tu fou, connard? Jae Jin, c’est la porte d’à côté, pauvre enfoiré! »

Vaillant Jae Jin, il avait essayé de détourner de potentiels ennemis en vandalisant son voisin d’à coté. Ça, c’était bien lui tous craché! Même s'il se retrouvait dans une fâcheuse position, il ne put retenir un sourire de fierté. C'est fou ce que nos enfants pouvait grandir vite... L’homme lui, rouge de colère, s’arrêta un instant de crier pour mieux le dévisager. La surprise se lut sur son visage, quelque part entre deux boulets de gras et quelque points noirs.

« … Une escorte? Sacré Jae Jin, il jouait les crétins, mais c’est un vrai pervers, ma parole... » Il glissa sa langue sur ses lèvres gercées et lui décrocha un regard langoureux qui ressemblait plus à un cri d’agonie de ses yeux pratiquement invisibles. « Si tu veux te faire un peu plus de fric, passe par ici quand t’auras fini. Tu verras, je suis encore plus doué que lui! »

Cheshire retint un sincère haut-le-cœur et étouffa un rire complètement puérile.

« Désolé monsieur, urgence d'ordre nationale, je dois réquisitionner cette poignée de porte... »

Et sur ce il referma lui-même la porte du voisin pervers et se jeta sur celle de son animal de compagnie pris d’une panique pratiquement non feinte.

BANG BANG BANG

« JAE JINNNN, JAEEE JINNNN, PAR PITIÉ OUVRE CETTE ***** DE PORTE, ENFOIRÉ!!!!! »

BANG BANG BANG

Il était sur le point de s’ouvrir les poings sur la planche de bois, lorsque cette dernière s’ouvra enfin , suivie du chant des anges. Bon, d’accord, il avait peut-être imaginé la dernière partie. Sauf qu’il était trop préoccuper à sauter dans les bras de Jae Jin pour vraiment s’en soucier. Étrangement, quelque chose semblait clocher et c’était pas juste la tranche de concombre qui lui collait à la joue. Il se décrocha de son coup et recula d’un pas et entreprit de faire des cercles autour de lui, tel un prédateur. Ça va de sois, il n’avait pas pigé un traitre mot de ce qu’il lui avait dit. Chris et léon c’était quoi, un nouveau anime à la con? De toute façon, il ne parlait pas le chien. Autant essayer de parler à sa belle-mère, va sans dire, il s’en branlait bien.

« Dis, Jae Jin… » Commença t’il le plus sérieusement du monde, enfin, du mieux qu’il le pouvait avec un habit de maid rose sur le dos. « Il est passé ou le collier que je t’ai acheté? »

Vous, vous rappelé du collier de chien avec la jolie médaille? Celle où il était gravé « esclave » avec un joli cœur à la fin? Ben, il lui avait expressément demandé de ne jamais l’enlever et même si sa vie était en danger. Parce que sinon, une puce insérée à l’intérieur devait se déclencher et exploser une fois libérée. Enfin, c’est ce qu’il lui avait raconté après avoir remâté les films de battle royal au ciné.

« Devrais-je prendre ça comme un acte de rébellion Jaejin? Devrais je croire que tu essaies de passer du mauvais coté de la force? Que tu tenterais de briser notre parole de sang de sorcier? » Menacant, il rapprocha son visage et continua : « Est-ce que je dois te rappeler ce que je fais au traitre dans ton genre? Les salopards qui abandonnent la terre du milieu pour fuir faire le nord?» Il se faufila jusqu’à son oreille et le plus calmement possible, s’écria :

« JE LES DONNE A MANGER AUX OGRES QUI SE CACHENT SOUS MON LIT! »

Voilà, comme ça, il lui viendrait plus jamais à l’idée de lui désobéir. Même que s’il acceptait de remettre les pieds dehors un jour, il pourrait essayer la nouvelle laisse qu’il lui avait achetée.

Rose comme son collier.

Aussitôt que j'ai ouvert la porte pour laisser entrer KyeSung, ce dernier n'a aucunement perdu de temps : tel un animal qui traquait sa proie, il fit la danse de la cuccaracha autour de moi. Mais, qu'est-ce qui se passe? Il n'a même pas pris la même de lui répondre à sa question, why so much hate?

Mais bref, pourquoi faisait-il cela? Aussi rapidement qu’il avait commencé, il se stoppa et se mit à me fixer d’une de ces façons qui vous donne des frissons dans les tibias. Est-ce que c’était en raison de mon facial et de mes concombres? Ouais bah, quoi, je me dois de protéger cette douce peau de bébé qui est la mienne. Est-ce que c’était à cause du pyjama? Hum non, je ne crois pas… à le voir dans cet uniforme d’espion du gouvernement, je ne crois pas qu’il soit en mesure de juger mon propre accoutrement. Mais bon, pourquoi?

« Il est passé ou le collier que je t’ai acheté? »

…Hum? Au même moment qu’il avait terminé son interrogation, je me mis à tâté mon cou où devait se trouver le fameux objet. Menaces par-dessus menaces, je débutais à avoir les genoux qui s’entrechoquaient. OHEMJI. Comment ai-je pu oublier un truc pareil. Maintenant, KyeSung oppa va venir m’injecter le virus T durant mon sommeil. Je serai alors zombifié et je subsisterai les conséquences d’erré à tout jamais à la recherche de chair fraiche. Non, aucunement, jamais! Je ne veux pas cela. Pourtant, la raison pourquoi ce collier n’était plus dans mon cou était pourtant si simple : eh bien, étonnez-vous, mais ce collier laisse des sales marques dans le cou. Vous savez, ce genre de marque qui pourrait quasiment être comparé à celle d’une morsure de vampire. Donc, pour éviter de me faire passer pour une de ces créatures ayant la même brillance qu’un pokémon shiney, je l’ai retiré et je me suis nettoyé. Par la suite, eh bien, je me suis fait mon masque, tralali et tralala et après, j’ai tout simplement oublié de le remettre où il était censé être.

Voilà, un simple oublie et… JE RISQUE DE ME FAIRE MANGER PAR UN TROLL.

Un troll. Une de ces créatures hideuses qui trouvent refuge sous le lit de mon maître… En fait comment c’est possible qu’un aussi gros monstre réussisse à avoir leur maison dans un endroit aussi restreint… Mais voyons, comment se fait-il que je doute de la parole de mon master. Impossible, il dit toujours, mais toujours la vérité.

I know.

L’explication est pourtant simple, comment est-ce que cela se fait que je n’y avais pas pensé plus. Il y a tout simplement un trou noir sous son lit. Alors quand le troll en a assez d’être coincé, il se faufile dans ce fameux trou pour aller chercher ses ustensiles pour ainsi être en mesure de mieux déguster son prochain repas. Donc, pour éviter que je me retrouve dans mon assiette je partis rapidement dans ma salle de bain pour aller chercher ce collier rose. Je le trouvai assez vite à côté de ma brosse à dents Spider-Man. Ensuite je retournai voir KyeSung pour ainsi savoir la suite de l’histoire.

« Say Master… »

Aussitôt arriver près de lui, je lui pris l’épaule et me mit gesticuler avec mon autre main libre en pointant le vide au loin.

« You know, malgré que je sois un très grand samouraï de notre ère, il m’arrive parfois de faire des erreurs. »

Je pris un moment de répit et poussa un soupir avant de continuer.

« J’ai combattu zombies, Desians, clones et même tortue géante crachant du feu, mais je sens que je ne suis plus moi-même… »

Je lui lâchai l’épaule et prit une pause dramatique pour ainsi garder le suspense. Je parti un peu plus loin, les épaule basses.

« Juste le fait que j’ai oublié de renfiler votre collier bienfaiteur après ma toilette prouve que je ne suis plus que l’ombre de moi-même… »

Sur ces dernières paroles, je tombai sur le sol, abattu. Je savais que je ne sentais plus cette force qui avait l’habitude de l’habiter. Je devais découvrir la raison et encore mieux, la retrouver. Je me mis à trainer mes genoux sur le sol et arriver à mon maître je me mis à tirer sa robe avec les yeux pleins d’étoiles.

« Vous allez tout me réapprendre votre savoir, isn’t master KyeSung? »